contexte
À la lumière de la récente agression militaire en Ukraine, repensez à une époque lointaine.
Tom Brokaw a qualifié les anciens combattants de la plus grande génération américaine de la Seconde Guerre mondiale. Parmi cette génération se trouvait mon beau-père, George F. Peoples, qui a participé à la guerre du Pacifique à partir de 1945. Ces gamins au moment de la guerre en Europe ne voulaient pas être là. Ils auraient préféré jouer au hockey de rue ou au baseball dans les terrains de baseball de leur ville natale. Cependant, ils n'étaient pas ce que le haut commandement allemand ni le Conseil de guerre japonais envisageaient d'eux.
Le Conseil de guerre japonais considérait les Américains comme des amateurs de plaisir, qui auraient peu d'appétit pour la guerre. Le Japon avait espéré qu'après la frappe préventive sur Pearl Harbor, HI, les Américains demanderaient la paix. Ils ne l'ont pas fait. Dans la bataille de Midway, un engagement dont les forces navales impériales japonaises avaient un net avantage en termes d'hommes et de matériel, l'amiral Nagumo, qui commandait le Kido Butai, est cité comme disant, les Américains sont grands et forts, mais ils ne le sont pas. très intelligent. En fait, les Américains avaient déchiffré le code japonais, un fait dont le Conseil de guerre n'était pas au courant, tout au long de la guerre du Pacifique, et l'amiral Nimitz a ordonné aux ressources navales américaines restantes d'engager pleinement l'approche de Nagumo. armada. Il est rare dans la guerre navale que la flotte d'une nation anéantisse complètement la flotte d'une autre. Cependant, le 4 juin 1942, l'USN a coulé les quatre porte-avions de Nagumo avec la perte du seul porte-avions américain, le Yorktown.
Si les Japonais avaient vaincu les Américains à Midway, ils auraient éliminé leur dernier obstacle à la suprématie dans le Pacifique. Comme Nimitz a engagé toute la flotte américaine dans la bataille, il n'y avait pas de réserves. Les actifs de Midway constituaient l'ensemble de la flotte de la marine américaine.
En fin de compte, l'attaque japonaise sur Midway n'a rien accompli. Le Conseil de guerre japonais a été à la fois stupéfait et indigné, cependant, le conseil a refusé d'annoncer la défaite au peuple japonais. Tout au long de la guerre, les bras de propagande du gouvernement impérial japonais avaient promu le faux récit selon lequel le Japon gagnait la guerre. L'amiral Nagumo, qui a subi une défaite totale lors de la bataille de la mer des Philippines, autrement connue sous le nom de Great Marina's Turkey Shoot de 1944, commettra plus tard un suicide rituel dans la honte. Alors que l'amiral Yamamoto, qui a planifié et dirigé l'attaque de Pearl Harbor, HI, et plus tard a supervisé la bataille de Midway, a été abattu alors qu'il inspectait les forces japonaises dans les îles Salomon en 1942. Les deux hommes sont morts, méconnaissant totalement l'esprit américain. Leurs rêves de conquête dans le Pacifique, brisés.
De quoi parle la vidéo
Cette vidéo illustre le naufrage du porte-avions impérial japonais, Akagi, le 4 juin 1942, comme le montre le film de 2019, Midway. À 10 h 25 ce jour-là, la chance de l'amiral Nagumo s'est épuisée. Nagumo a regardé, impuissant, trois de ses quatre porte-avions d'attaque ont été paralysés et finalement coulés par des bombardiers en piqué américains Douglas SBD Dauntless en cinq minutes. Cette attaque a mis fin à la maîtrise du Japon sur les mers et a ramené la marine américaine à parité contre l'IJN. Les scénaristes du film, Midway, ont embelli le feu anti-aérien contre Dick Best et ses deux ailiers pour dépeindre l'héroïsme dans ce que Best a accompli. En réalité, les Japonais ne pouvaient rien faire pour contrecarrer l'assaut de l'escadre américaine de bombardiers en piqué. La patrouille aérienne de combat japonaise (CAP) était à l'époque déterminée à attaquer les escadrons de torpilles, VT-6 du porte-avions Enterprise et VT-8 du porte-avions Hornet, qui se trouvaient à quelques centaines de pieds au-dessus du niveau de la mer dans leur vecteur d'attaque raté. Seuls 4 pilotes des deux escadrons ont survécu à l'engagement, dont George Gay, le seul survivant de 30 membres d'équipage du VT-8, que le film dépeint dans l'eau, regardant les quatre escadrons de bombardiers en piqué attaquer et paralyser complètement trois des quatre avions. transporteurs à 10 h 25 le 4 juin 1942.
Le pilote de bombardier en piqué, Richard Best, a interrompu son vecteur d'attaque à 15 000 pieds lorsque, par erreur, les deux escadrons sous le commandant du groupe aérien, Wade McClusky, VB-6 et VS-6 du porte-avions Enterprise, un total de 47 bombardiers en piqué, a attaqué le porte-avions IJN Kaga. Cette décision d'embrayage de la part de Best de désobéir en fait aux ordres a éliminé le porte-avions japonais, Akagi, au début de la bataille et a finalement amené la marine américaine à parité avec la marine impériale japonaise dans la guerre du Pacifique.
Mitsuo Fuchida, l'aviateur japonais qui avait mené l'attaque sur Pearl Harbor, était sur Akagi quand il a été touché et a décrit l'attaque:
Un guetteur a crié: "Hell-Divers!" J'ai levé les yeux pour voir trois avions ennemis noirs plonger vers notre vaisseau. Certaines de nos mitrailleuses ont réussi à leur tirer quelques rafales frénétiques, mais il était trop tard. Les silhouettes dodues des bombardiers en piqué américains Dauntless ont rapidement grossi, puis un certain nombre d'objets noirs ont soudainement flotté étrangement de leurs ailes.
Les Japonais n'ont jamais pu reprendre l'initiative après avoir perdu les quatre porte-avions, Kaga, Akagi, Soryu et Hiryu le 4 juin 1942.
Les Progressive Shamanists travaillent actuellement sur la composition, ajoutant des parties instrumentales. Ce qui est actuellement disponible est par ailleurs un travail en cours.
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Partition complète de la chanson, To Hell With Blofeld
La version Sibelius de la chanson de John Barry, To Hell With Blofeld, datée du 3 mars 2022 Musique uniquement ; pas de visuels, pas de vidéo
Version Microsoft Wave File de la chanson de John Barry, To Hell With Blofeld, datée du 3 mars 2022 Musique uniquement ; pas de visuels, pas de vidéo